Frédéric, dans LA traversée clé de la voie et la "maison du Cuernos" sur la fameuse vire, refuge durant l'ascension.
Entretien satellite avec Frédéric.
Fini la dernière escale pour faire le ravitaillement, faire un brin de toilette, soigner les bobos et les mains douloureuses et repartir pour terminer cette jolie répétition-ouverture d'alternatives.
Du fait que la voie se fait sans le topo, le parcours se fait sur des longueurs alternatives, une voie traversante afin de reprendre la voie ouverte.
Comme expliqué dans un précédent message, il fait relativement beau et quand le soleil tape sur le sommet, la neige fond et la "pluie" arrose nos grimpeurs. Pour l'instant la vire reste le meilleur endroit pour dormir au sec, faire sécher les duvets trempés.
La longueur en A3+/A4 a été longue à gravir 5h1/4.
Il faut aussi se rendre compte que sur chaque longueur de cette belle face il y a un dévers de 1 à 2 mètres.
En fin d'après-midi nos trois équipiers, bien décidés à réussir ce sommet et profiter de la vue sur la vallée des français de l'autre côté, repartent pour profiter du dernier créneau.
environ 2h30 pour atteindre le camp avancé au pied de la paroi.
Demain, remontée sur les cordes fixes, nuit sur la fameuse vire, rejoindre par les statiques le dernier relais.
Enchaîner encore les longueurs, avant les 150 derniers mètres faciles, en comptant sur la clémence du vent.
Objectif : sommet dans 3 jours.
Au retour un beau topo avec la voie de Twid Turner et les ouvertures de l'Enja : un nouveau nom "for a fistfull of chapatis".
Fini la dernière escale pour faire le ravitaillement, faire un brin de toilette, soigner les bobos et les mains douloureuses et repartir pour terminer cette jolie répétition-ouverture d'alternatives.
Du fait que la voie se fait sans le topo, le parcours se fait sur des longueurs alternatives, une voie traversante afin de reprendre la voie ouverte.
Comme expliqué dans un précédent message, il fait relativement beau et quand le soleil tape sur le sommet, la neige fond et la "pluie" arrose nos grimpeurs. Pour l'instant la vire reste le meilleur endroit pour dormir au sec, faire sécher les duvets trempés.
La longueur en A3+/A4 a été longue à gravir 5h1/4.
Il faut aussi se rendre compte que sur chaque longueur de cette belle face il y a un dévers de 1 à 2 mètres.
En fin d'après-midi nos trois équipiers, bien décidés à réussir ce sommet et profiter de la vue sur la vallée des français de l'autre côté, repartent pour profiter du dernier créneau.
environ 2h30 pour atteindre le camp avancé au pied de la paroi.
Demain, remontée sur les cordes fixes, nuit sur la fameuse vire, rejoindre par les statiques le dernier relais.
Enchaîner encore les longueurs, avant les 150 derniers mètres faciles, en comptant sur la clémence du vent.
Objectif : sommet dans 3 jours.
Au retour un beau topo avec la voie de Twid Turner et les ouvertures de l'Enja : un nouveau nom "for a fistfull of chapatis".
Pendant ce temps, l'autre équipe, qui s'est malheureusement découragée un peu trop vite et qui a déséquipé la voie, a le moral un peu bas et aurait bien aimé que nos trois grimpeurs renoncent à grimper. Mais pas question, Frédéric tient bon. Le temps manque pour cibler de nouveaux objectifs, alors un petit treck sera peut-être au programme des prochains jours.
Programme après le sommet:
Préparer les sacs, plier le camps et faire place propre, charger les mules et redescendre à Puerto Natales pour préparer le fret en vue du retour en France.
Il semble bien, par contre, que certains bagages seront plus léger, car il semble que les "grosses", vu leur usure extrême, restera à Puerto Natales. Les pierriers, le granit qui grignote les bouts des chaussures, les rafistolages ne durent guère.
Ils ont bien l'intention aussi, avant le retour en France, de profiter de quelques jours de tourisme pour voir les curiosités locales, notamment l'île aux pingouins.
En résumé, la petite vie du groupe est bien réglée, ils sont remontés à bloc pour finir leur voie.
A bientôt dans quelques jours.
Programme après le sommet:
Préparer les sacs, plier le camps et faire place propre, charger les mules et redescendre à Puerto Natales pour préparer le fret en vue du retour en France.
Il semble bien, par contre, que certains bagages seront plus léger, car il semble que les "grosses", vu leur usure extrême, restera à Puerto Natales. Les pierriers, le granit qui grignote les bouts des chaussures, les rafistolages ne durent guère.
Ils ont bien l'intention aussi, avant le retour en France, de profiter de quelques jours de tourisme pour voir les curiosités locales, notamment l'île aux pingouins.
En résumé, la petite vie du groupe est bien réglée, ils sont remontés à bloc pour finir leur voie.
A bientôt dans quelques jours.
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